Cactus'Awards

Notre ami Arkos a gagné le prix du meilleur Admin de confrérie.

Alors je débouche pour lui une bouteille de jus d'Ewok de synthèse.
Je mélange avec une larme de Jus de mulet et je décore avec un parasol surmonté d'une couronne

Félicitations Arkos car Seldon sait que ce doit être une mission fort difficile que d'être suppôt chez les Siths.

Venez les amis ! qui veut gouter ce cocktail spécial ?

Un grand merci à vous, ma chère Lisandra.

Avec seulement 15 votants, je ne suis pas sûr que ce vote ait une quelconque valeur autre que ludique, mais je suis néanmoins honoré d'avoir reçu ce prix, et doublement honoré par votre judicieuse initiative à ce propos dans votre Taverne.

Je serais curieux de goûter ce cocktail spécial en votre compagnie, afin de constater s'il a vraiment les vertues aphrodisiaques que les ingrédients entrant dans sa composition peuvent laisser espérer.

Je lève mon verre à la sympathie que j'éprouve pour la Confrérie des Defenders et pour tous ses membres !

Des vertus aphrodisiaques ? je l'ignorais Ce sont surement des rumeurs

Merci de votre appréciation à notre sujet.

Nous sommes des gens simples à qui on peut faire confiance

Ah c'est marrant ça, moi aussi !

Arkos, arrête de magouiller

Mon cher, vous êtes notre invité alors je n'ajouterai rien.
Dites nous plutot les difficultés de votre charge dans l' Imperium.
Avez vous des anecdotes amusantes à raconter ?

Hélas, ce n'est pas un travail de tout repos et les moments de détente sont plutôt rares.
Mais je ne me plains pas, c'est vraiment très gratifiant et très enrichissant humainement de co-diriger une confrérie comme l'IMPERIUM.

Votre cocktail est vraiment délicieux, félicitations !
Il faudra que j'essaye de le reproduire à bord de mon croiseur amiral avec du jus d'Ewok véritable.

Voyons Arkos, vous risquez d'être pris par la Société Protectrice des Ewoks.
Il parait qu'ils s'enchainent aux croiseurs des trafiquants et que ça empêche de passer dans l'hyperespace.
L'Ewok de synthèse n'a finalement pas de vertu aphrodisiaque mais c'est délicieux.

Ah ! Raison de plus pour essayer l'Ewok véritable, vous voyez

Et pour les bobos-écolos-amis-des-zanimos, nous avons des robots spéciaux qui parcourent la surface de nos vaisseaux de transport et qui sont chargés de s'occuper d'eux.

Bravo Arkos, Félicitations !!

Je lève mon verre à votre réussite !

C'est quoi les Castuar Awards ?

Captain Igloo a écrit:C'est quoi les Castuar Awards ?

Ce sont les Cactus'Awards en fait. C'est corrigé.

Pour d'autres informations c'est ici http://www.forumfondation.free.fr/viewtopic.php?t=606

J'en profite pour rappeler qu'il reste jusqu' à ce soir pour voter au 2eme tour des Serns Awards
et c'est là http://www.forumfondation.free.fr/viewtopic.php?t=571

Captain Igloo a écrit:

On reconnaît bien le Captain parti à la pêche au thon avec son amie la mouette.

Et pourtant le Captain ne prend pas l'eau facilement.

Tenez, la preuve :

Captain, veux-tu ce verre d'eau ?

Non merci, je ne prends jamais d'eau.

Et voila ! il ne prends jamais l'eau.

Qu'est-ce que je vous disais ?

....

Cette photo de lui dans une bouée avec une mouette est une photo montage envoyée anonymement par un de ses nombreux ennemis

Lisandra a écrit:Seldon sait que ce doit être une mission fort difficile que d'être suppôt chez les Siths.

On a le droit de rigoler ? Parce que sinon...
Tiens, ça me fait penser que j'en ai une bien bonne à vous raconter.

Ahhhh Mata ! je suis bien contente de vous revoir. comment allez vous ?

bien sur qu'on peut rigoler
racontez donc votre histoire

Je vas bien, discrètement, mais bien.
Alors voici mon histoire :



Tout le monde le sait, personne ne l’ignore, la plus misérable et plus loqueteuse des compagnies s’appelle la Société Intergalactique des Troubadours Haineux, on n’y voit ni le soleil ni l’été, tout y est sombre à longueur d’année. Là, il y avait une fois un suppôt, qui avait occupé un peu toutes les fonctions de la place. Il s’appelait Arkos, surnommé Arkos le Troubadour Haineux.
On raconte qu’un jour Arkos se prépara à partir avec un casse-croûte et des chaussures neuves volées sur la dépouille d’un Paladin exécuté d’un coup de sabre planté dans son dos. Il fit le plein de son vieux tacot volant, accorda sa petite trompette et s’envola dans la nuit boréale en direction des étoiles. Son périple le mena bien loin de ses bases, sur des planètes inconnues. Il y fit son récital, passa de salle de concert en salle des fêtes, puis de salle des fêtes à hall de supermarché, et enfin de hall de supermarché à la rue, partout remportant un succès plus que très mitigé. Il arriva pour finir dans un grand studio d’enregistrement imposant, moderne, suréquipé et tout et tout, et y passa la nuit. Le producteur qui tenait cet endroit avait un neveu jeune et mignon. Quand Arkos se réveilla le lendemain matin, il regarda le temps qu’il faisait par la fenêtre et se dit à lui-même : « Est-ce que mes croiseurs ne devraient pas sortir aujourd’hui ? » Il redit cela, ou quelque chose de semblable, trois matins de suite, tout bas comme s’il ne voulait pas qu’on le remarquât. Le producteur et son neveu remarquèrent pourtant la chose et soupçonnèrent que leur hôte devait être un grand guerrier qui se déplaçait discrètement. Pour faire bref, disons qu’Arkos demanda quelques jours plus tard un peu plus que la main du neveu du producteur et l’honora. On refit le plein d’énergie de l’astronef d’Arkos, on le repeint sombrement en ajoutant un arc-en-ciel sur le fuselage et ils se dirigèrent, Arkos et le neveu, vers les secteurs les plus ténébreux de la galaxie. A chaque riche et puissante planète sur laquelle ils faisaient escale sur leur route, le neveu demandait à son compagnon inverti : « Est-ce là ta planète mon chéri ? » « Pas encore », répondait celui-ci. Ils parcoururent ainsi des parsecs et des parsecs, traversèrent bien des secteurs, longtemps, longtemps, jusqu’à ce qu’ils arrivassent un soir, tout fourbus, à la nuit noire, sombre et plus que ténébreuse, sur une planète misérable qui ne comptait pour unique construction qu’une pauvre chaumine à moitié enfoncée dans le sol. Là, Arkos atterrit et posa un pied sur le sol qui s’enfonça jusqu’à mi-mollet dans la boue. Il fit descendre ensuite son tendron en le portant par la taille. « Est-ce là ta planète, mon chéri ? » dit-il. « Oui », répondit Arkos. Sur ce, il alla frapper à la porte. Une vieille complètement décrépite, la mère d’Arkos, arriva et demanda à travers l'embrasure qui était nuitamment venu la réveiller. Arkos se nomma et cria vers l’intérieur, car on n’y voyait goutte dans cette nuit noire à couper au couteau ou au sabre laser :
« - Allumez, Mère, le chandelier d’or et de grenats »
- Je ne peux pas, dit la vieille.
- Alors allume le lustre d’argent avec la verroterie.
- Je ne peux pas.
- Alors, allume la foutue lampe à huile toute graisseuse.
- Ça je peux le faire, répondit la vieille qui courut allumer ».

Sur le ménage d’Arkos et du choucas, on ne raconte rien d’autre. Sur Arkos le Troubadour Haineux, on a composé ceci :
« Arkos le suppôt pourrit tout,
Sa vertu n’est pas grande ;
Repaire de maîtres-chanteurs est sa chaumine,
Le soleil jamais n’y brille.
Arkos arrête de magouiller ! »

le neveu demandait à son compagnon inverti : « Est-ce là ta planète mon chéri ? » « Pas encore »,

hé hé hé
Un conte à ne pas mettre entre toutes les mains.

Mais pourquoi appelez vous le neveu un choucas ?
Pour moi ça évoque un oiseau très coloré au grand bec.

Non ca c'est un toucan ... un choucas c'est une sorte de corneille qu'on trouve principalement en montagne je crois (en tout cas y en a dans les miennes ^^).

Une belle histoire
de quoi devenir ashtmatique